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Magazine FRA August 2020

Les meilleurs plats de mer et de montagne que j’ai goûtés lors de mes voyages gourmands

By 05/08/2020mars 30th, 2021No Comments

«Mer ou montagne? Une des questions les plus populaires en matière de voyage, de paysages, de produits mais aussi de gastronomie et de vin. Mon road trip à la découverte des saveurs et des goûts les plus particuliers m’a également conduit à déguster des plats qui interprètent au mieux l’essence et les saveurs intenses de la mer bleue. Appels et senteurs de l’un des éléments que j’aime le plus dans la vie. Mais la montagne m’a toujours inspiré, j’ai toujours aimé manger dans ces chalets en bois en haute altitude, dans les vieilles cabanes entourées de montagnes où l’on peut apprécier les traditions de la cuisine de montagne.

Voici une liste des 5 plats qui me rappellent le plus ces deux éléments: la mer et la montagne:

  • Le King Crab del Noma, Copenhague. Je suis impressionné par le plat signature de Redzepi: le crabe royal. En scannant le QR Code sur le téléphone retrouvé dans le sable sur lequel était posé le King Crab, il a été possible de reconstituer ses origines (il pesait près de 3 kg et venait de Norvège, malgré la traçabilité …). Impossible de ne pas mentionner le roi des crustacés des mers du Nord.
  • Le filet d’agneau d’Inter Scaldes (Kruiningen, Pays-Bas). Servi avec fenouil, lavande de mer, thym et plus de piments. Un plat qui me rappelle la montagne grâce à l’arôme fort et piquant du thym et à la viande d’agneau tendre et savoureuse associée à la lavande qui donne une touche d’élégance presque noble à l’ensemble, me ramenant aux étendues de lavande près de la mer jusqu’à pratiquement en sentir le parfum.
  • L’os creux rempli de tartare d’agneau, de pesto de montagne, de poivre de montagne et d’un excellent beurre sucré de Saint-Hubertus par le chef Niederkoffler. Les Dolomites sont claires et visibles dans ce plat. Le St. Hubertus a choisi de «cuisiner la montagne» avec des plats locaux, pour promouvoir la territorialité et la saisonnalité.
  • La salade de crabe d’Il Faro di Capo d’Orso . Le plat signature, d’ailleurs aussi le plat que j’ai le plus aimé du déjeuner: crabe naturel, citron râpé (le phare de Capo d’Orso possède aussi sa propre citronneraie), tomates confites, un disque consommé de tomate en gelée , sur lequel on fouette une crème sure, du caviar de hareng et des oursins. Le phare est situé sur la côte amalfitaine, précisément à Maiori. Surplombant la mer. Avec un panorama à couper le souffle. Ceci jusqu’à ce que vous puissiez goûter les créations de Sodano: savoureuses, imaginatives et en parfaite harmonie avec les saveurs de la mer.
  • Les crevettes marinées, les graines de fruits de la passion et l’huile de poivre rose Mauro Uliassi . Quand je parle de la mer, je ne peux manquer de mentionner Uliassi qui me donne des émotions sans fin à chaque fois. À partir de l’emplacement entre le port du canal et la plage. Un endroit qui, comme le dit leur site internet, est toujours beau, en toutes saisons, avec le vent ou la pluie, avec la neige ou quand les jours sont immobiles sous le soleil d’été.
    Des émotions que l’on retrouve aussi et surtout dans les plats. Utiliser les produits de la mer, savoir les apprivoiser, les gérer et les équilibrer n’est pas du tout simple ». 

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